Friday, October 13, 2006

Cartoons pela paz

CARTOONING FOR PEACE
ONU - 16 Octobre 2006


Exposição: A cólera e a desunião engendradas pela publicação das caricaturas de Maomé no início de 2006 sublinham por um lado a força da arte do desenho de imprensa, e a necessidade de fazer prova da responsabilidade dai recorrente. Esta exposição mostra como o desenho de imprensa pode contribuir e promover a paz. A exposição apresenta cerca de quarenta desenhos de 18 artistas provenentes de todo o mundo: Baaeidin R.Y.Al Bokhari (Palestine); Cintia Bolio (Mexico); Chapatte (Switzerland); Jeff Danziger (USA); Sue Dewar (Canada); Liza Donnelly (USA); Carsten Graabaek (Denmark); Hassan Karimzadeh (Iran); Michel Kichka (Israel); Kroll (Belgium); Mike Luckovich (USA); Ranan Lurie (USA); Hussein Moustafa (Egypt); Godfrey Amon Mwampwem (Gado) (Kenya); Jean Plantu (France); Marlene Pohle (Germany); Ann Telnaes (USA); Norio Yamanoi (Japan).
Este projecto foi criado pelo francês Jean Plantu e com a colaboração do Centre régional d'information des Nations Unies pour l'Europe occidentale (UNRIC, Bruxelles); do Salon international du dessin de presse et d'humour de Saint-Just-le-Martel.
Estará patente ao Publico na sede das Nações Unidas de 16 de Outubro até 24 de Outubro
Nesse mesmo dia 16 decorrerá um Seminário, integrado na série “Desaprender a Tolerância” com a designação, “Desenhos pela Paz”, com a participação de vários cartoonistas.
Aqui fica a notícia e alguns dos desenhos que estão patentes nessa exposição.

Plantu - Desenhos pela Paz


Point de vue de Plantu

Cela fait plusieurs années que je travaille sur un projet de rencontre internationale dedessinateurs de presse. Cette idée a germédès 1991.Cette année-là, je faisais une exposition de dessins àTunis et Yasser Arafat, le leader de l’OLP, m’avait demandéde venir le voir pour discuter des dessins.A cette occasion, je me suis rendu compte que le langage du dessin était non seulement capable de rassembler mais aussi de faire passer un message que transgresseles interdits: àl’époque Yasser Arafat était incapable de dire la phrase «je reconnais l’Etat d’Israël.»et pourtant, avec un feutre bleu il a dessinél’étoile de David du drapeau israélien.L’année suivante en 1992, le ministre israélien des Affaires étrangères Shimon Pérès apposait, lui aussi, sa signature sur le même document.Plusieurs dessins ont ainsi étécommencés par Yasser Arafat et terminés par Shimon Pérès.Depuis, je me suis beaucoup interrogésur le rôle du dessinateur de presse. Les caricatures sont très souvent mis en cause pour la causticitéde leurs dessins, cela est très normal; mais ces dernières années je me suis aperçu qu’il y avait un blocage entre deux cultures opposées: Celle de l’Orient et celle de l’Occident; chacune roulant pour sa chapelle de façoninconsciente ou non. Souvent, les dessinateurs ont un angle d’attaque unilatéral: le travail du caricaturiste devient alors plus proche du militant que du journaliste. C’est la raison pour laquelle j’ai plusieurs fois parléau Secrétaire Général de l’ONU, M. Kofi Annan pour lui dire combien ilme paraissait urgent de réunir des dessinateurs afin de réfléchir au rôle journalistique de notre profession. Quand je dis «journalistique», je pense bien sûr ànotre responsabilitévis-à-vis de nos lecteurs. J’aieu la chance de réaliser des expositions dans le monde arabe et, àchaque fois, j’ai reçu un accueil sympathique et ouvert. Ma dernière exposition s’est tenue en Egypte àla Grande Bibliothèque d’Alexandrie. J’ai proposéàmes amis caricaturistes égyptiens de faire venir des dessinateurs libanais, palestiniens,jordaniens et israéliens àAlexandrie; mes confrères arabes m’ont fait comprendre que cela poserait un problème si les Israéliens étaient présents en Egypte.Je leur ai donc proposéune rencontre dans ville européenne ou ailleurs ce qu’ils ont considérécomme envisageable. J’ai l’habitude de me rendre régulièrement dans le Proche-Orient et je dis souvent aux dessinateurs arabes de réfléchir àleur manière de dessiner les Israéliens. Je leur dis que leurs critiques dirigées contre l’armée israélienne ou les dirigeants israéliens sont tout àfait fondées mais que dessiner les juifs avec le casque nazi et le nez crochu n’arrange pas forcément leur démonstrations; Cela occulte même le sens de l’idée éditoriale.Je crois que quelques-uns de mes amis caricaturistes égyptiens m’ait dit «Mais comment veux-tu qu’on les dessine autrement?»Dans le même ordre d’idée, je me suis rendu compte que les représentations» imprimés de Mahomet ont occultéle sens de l’attaque éditoriale àsavoir une attaque contre les islamistes fondamentalistes de notre planète.Quand j’ai rencontréKofi Annan en janvier de cette année, nous avons reparléde notre projet de rassembler des dessinateurs internationaux àNew York et àGenève. Je revenais juste de Jérusalem oùje participais àune rencontre de caricaturistes, et, pour la première fois s’était déplacéun dessinateur palestinien; il a ététrès bien accueilli et chaudement applaudi par le public israélien bien qu’il ait montrédes dessins très incisifs. Lors de mon rendez-vous au siège de l’ONU, nous avons discutéde notre projet sans savoir que nous étions àla veille de cette grande polémique autour des caricatures publiées au Danemark.Il fallait répondre àl’interdit lancépar quelques Imams mais il fallait le faire avec finesse pour ne pas tomber dans le piège d’une attaque trop frontale qui aurait étévécue dans le monde arabe comme un blasphème. Il fallait réagir.Je me suis aussi posédes questions sur notre attirance très occidentale pour le blasphème. En Europe, les dessinateurs ont l’habitude de faire des images contre l’Eglise catholique qui sont bien sûr de l’ordre du blasphèmemais c’est un accepté. Je m’aperçois que l’Eglise catholique a étéplutôt indulgente face aux attaques répétées des caricaturistes. Les religions et le sexe sont des tabous assez souvent transgressés et cela se passe en général sans trop de problème.Cela ne signifie pas dans mon esprit que les dessinateurs doivent désormais s’empêcher de penser et de dessiner mais je crois que de part et d’autre on pourrait imaginer de continuer d’être caustiques, agressifs et incisifs, tout cela sans haine et surtout sans un mépris affichépour les convictions religieuses des croyants ou des non-croyants.Bien –entendu, il ne s’agit pas d’une règle morale àinstaurer ce qui serait àl’opposédes habitudes des caricaturistes, mais seulement une manière de penser notre travail d’un point de vue plus journalistique. Que les dessinateurs qui ont vocation àblasphémer continue comme ils le veulent ; je souhaite juste les faire réfléchir sur la manière dont certains dessins peuvent être ressentis àBeyrouth, àParis ou àJérusalem. Il faut bien savoir que certains centres culturels français àGaza et ailleurs ont dûfermer leurs portes.Sans parler des Ambassades qui ont étéattaquées. Nous ne sommes plus au début du XXèsiècle, époque durant laquelle les artistes-dessinateurs donnaient libre cours àleurs penchants libertaires ou anarchistes en se regardant le nombril. Bienvenue dans le monde de l’Internet. Cela dit, je ne suis pas dupe: je pense que les foules qui ont quittéles Ambassades au Proche-Orient ne sont pas forcément des adeptes de la caricature danoise. Il y a bien manipulation de la part de certains religieux. Sachons ne pas tomber dans leur piège.C’est la raison pour laquelle une rencontre de dessinateurs àNew York et àGenève accompagnée d’une exposition aurait l’avantage de mieux définir notre réflexion sur le sens de notre travail et sur le sens de la publication d’images. Une table ronde nous permettrait d’échanger nos expériences de caricaturistes.
J. Plantu

Caricaturas Crónicas 14

A USURA DO SENSO OU A CENSURA DO USO
Por: Osvaldo Macedo de Souss

O uso do senso nem sempre tem tido o consenso em nossas terras, seja porque somos um povo de credo na boca seja porque uma rolha pende frequentemente sob as bocas da expressão. A isso se chama a usura do senso, que se usou e abusou desde os primórdios da nacionalidade, em religiosidade censória.
Desde as investidas senhoriais, passando pelas inquirições e inquisições, até ao absolutismo da tesoura, seja do barbeiro, do crítico ou do alfaiate, temos sido um povo de cortes, em fino recorte de incompatibilidades, como o «mau génio da censura, e o bom humor» (Francisco Valença, in Sempre Fixe, 7/7/1928) da opinião.
Se o espírito de inquisição dominou, ou ainda domina, certos políticos, dirigentes ou candidatos, a Santa Inquisição foi contudo a nossa primeira castração, à qual não ficaram estranhos os artifícios oitocentistas do «castratismo» inaugurador do S. Carlos, na deformação de vozes dominantes e tónicas. Em nome de santos poderes, porque estes são sempre santos para quem os tem na mão, deformaram-se mentes, e muitas cabeças, de uma nação sem consenso maioritário, mas com senso de ludibriação. Se hoje somos um povo de segundos sentidos, intenções ou de desenrasca, devemo-lo ao tal espírito «bisbilhoteiro» de mentes, que fizeram o nosso «renascimento» possível.
Quem mente sempre alcança, dirá o analista político perante esse baile, onde «poderemos andar a direito, para cumprir o regulamento do trânsito, ou continuaremos a andar aos ziguezagues, para não nos espetarmos» (Francisco Valença, in Sempre Fixe, 2/1/1936). Fugindo ao «baile mandado», a censura é um pezinho de dança, em polca (Amarelhe, in Sempre Fixe, 12/8/1926) de artifício.
Essa «nuvem que os ares escurece» (Francisco Valença, in Sempre Fixe, 7/2/1835) fez eclipsar muitos iluminados, impôs-se como inquisição ou ditadura castradora, que na caricatura ficou testemunhada como «Recordação Cabralista - primeira censura» (Buffon, in Asmodeu, 1/5/1858), depois como «lei das rolhas» (Raphael Bordallo Pinheiro in Pontos nos ii de 10/4/1890) dos anos 80/90, para no fim/princípio do século se materializar no «Juiz Veiga», o maior pesadelo do republicanismo e da liberdade: «Metendo em tudo a tesoura, não poupa ao corte nenhum! Não deixa mexer a hidra, mas p'riga o senso comum.» (Nogueira, in Os Pontos, 27/4/1902).
O senso comum é o pior inimigo do governante, de consciência pesada, e a censura a sua melhor arma, manejada à descarada, como na ditadura, ou sub-repticiamente. Censura não é apenas a senhora que, pelo seu espírito de jejum quaresmal, faz a «abstinência da carne, e devora linguados que é um gosto» (Francisco Valença, in Sempre, Fixe, 15/7/1926), mas também a manipulação das notícias e opiniões, é o esquecimento de factos e homens, é o tabu de ideias e histórias.
Ainda hoje a religião, a ditadura, a guerra colonial, os implicados na revolução, a corrupção política... se transformaram em tabus censórios, interpretando-se a liberdade como tranquilidade de alguns.
Alguns fizeram a ditadura em 26, chefiados pelo Gomes, que, na defesa das Costas, instituíram o «exame prévio». A Censura é a «Dona do Carmo» interpretada por Valença como «Nª Sr.ª do Carmo» (por estar instalada no Quartel do Carmo), protectora das tesouras e lápis azuis: «Co'as garantias suspensas, já não se entende ninguém. Toda a hora vem sentenças, fecha às dez e fecha às onze, fecha à uma e fecha bem. Bem se vê que o general, comandava a aviação, pois julga que isto, afinal, é só pôr tudo no ar, em completa suspensão». (Amarelhe, in Sempre Fixe 15/7/1926)
Suspensos por generais ou sacristães, por censuras ou inquisições, ideias ficam por dizer, ficam políticas por criticar, mas uma coisa é certa, nunca se cala uma imaginação: «Os leitores olham para aqui, para esta folha, em branco, imaginam o que quiserem, e assim se satisfazem todos.» (Francisco Valença, in Sempre Fixe, 14/3/1935).

Tuesday, October 10, 2006

Caricaturas Crónicas 13

OS ADESIVOS
Por: Osvaldo Macedo de Sousa

A diversidade de apresentação, a variedade de formas, é uma das características do produto, mesmo que o fim seja o mesmo. Transparente ou opaco, de interior branco ou vermelho, séptico ou anticéptico... tem como ponto comum a aderência a qualquer superfície, preferindo as fendas ou feridas para se «acomodar", é o adesivo.
«Adesivos» são também aqueles que, como políticos na concepção filosófica e realista, aderem facilmente, estão habilitados à metamorfose das conveniências, estão preparados a estar presentes em todo o lugar que abra as portas para o Poder, principalmente nos momentos de «crise ideológica», quando as feridas do Poder sangram. Aderem sem quererem ser anticépticos.
Se existem, como uma consequência política, em todas as estruturas da vida quotidiana, da vida social, denotam-se mais nos momentos «trágicos», quando a magia do «vira casacas» não tem tempo para disfarçar as metamorfoses, quando a viragem é mais extremista.
Por exemplo, como o transformar-se, de um dia para o outro, de monárquico convicto em republicano da Rotunda, de salazarista em democrata... ou seja aderir nos momentos pós-revolucionários, obrigando o alfaiate a ficar «sem mãos a medir»: «Não me chateie! Já disse que só lhe posso virar a casaca lá para Setembro» (João Abel Manta, in Diário de Lisboa Julho de 1974; ou «Grande Alfaiataria Nacional dos Vira-Casacas», Jorge Colaço, in Ridículos, 13-12-1912).
Após as revoluções vitoriosas, todos lutaram contra o regime deposto: «toda a gente esteve na Rotunda, e se por acaso não foi nos dias 4 e 5 de Outubro podia ter sido em qualquer outro dia.» (O Intransigente, n." 20 de 1/12/1910). De um momento para o outro, o anterior regime (neste caso monarquia) ficou sem partidários, apenas uns reis, príncipes e ministros em fuga, e uns grupos no Norte, sem norte em guerrilhas.
Quanto ao «Júlio dantes monárquico» (in Papagaio Real de 14/4/1914) tornou-se ministro da República; político influente dos novos partidos republicanos, grande defensor da divergência ideológica com os outros partidos, defendendo a pureza do seu republicanismo, da sua democracia de pensar o País.
Um caso curioso: quem proclamou a República do alto do bastião oficial foram os políticos, e não os republicanos revolucionários da Rotunda, antecipando-se a qualquer reivindicação possível daqueles. Os profissionais da política «sabem» o que é o melhor para o povo, para o País, para o regime. Este, mal nasce, leva de imediato um banho asséptico de adesivos, como do BCG e outros virulentos - «Pobre filho! tão novo e já cheio de adesivos» (in O Intransigente nº 20 de 1/12/1910).
Eles, apesar de maleáveis e aderentes, são um espécime humano, consequentemente oportunistas, egoístas, racionalistas na conquista do Poder e dinheiro... !
Eles são um espécime animal, por isso lutam pela sobrevivência sem sombra de remorsos, apenas uma ou outra lágrima de chacal - «Co'os adesivos (é) outro cantar: / Qual nuvem de vorazes gafanhotos / Que um campo inteiro acabam d'assolar, / Roendo até os mais pequenos cotos / E que, ao verem a mesa levantar, / levantam voo pelos ar's ignotos / Para irem abater em outra estância / Onde haja de comer em abundância.» (Marco António, in Republicaniadas, Lisboa 1913).

Sunday, October 08, 2006

Caricaturas Crónicas 12

A DITA DENTA DURA
Por: Osvaldo Macedo de Sousa

Pela boca morre o... e pelo dente se trituram os mundos, primeiro em leves mordeduras de leite, suplantados depois por fortes queixais esmagadores, que transformam as massas num bolo homogéneo, sem queixas possíveis dos triturados. Vinte e oito (de Maio?) são os elementos trituradores, acrescidos de mais quatro, em siso, que vão desaparecendo. Dizem os biólogos que a nossa evolução civilizadora os tornou inúteis, e, consequentemente, temos cada vez menos siso.
Quem também não tem esses sisos são as dentaduras, quais postiços vingadores de sentimentos de frustração e inferioridade, tal como os governos que, perante as suas fraquezas, criam as ditaduras trituradoras, sem siso.
«Sem uma ideia o governo / Na craniana espessura / Pois que em pedreira tão dura / Agua mole não entra e fura / Vai agora a toda a pressa / Para ver se se segura / Na mansa cavalgadura / Montar a toda a largura / D. Dicta dicta Dura!» (Nogueira, in Os Pontos, 11/8/1901).
A ditadura é um «estado de graça», sem graça, em que a «situação» é conservada, numa defesa de instituições, instituídas para o caso, no ocaso das ideias... de segurança.
«A ditadura, divorciando as instituições do espírito da nação, colocou-se, para as defender, no meio de um triângulo, cujos três vértices são o governo, a polícia e a municipal (polícia). Pois, meus senhores, no centro d'esse delta nem a própria providência se julgaria segura!» (Raphael Bordallo Pinheiro in Pontos nos ii. 3/7/1890).
A Providência, sem a vidência; deixa-se enredar: na teia dentária, e a ditadura domina o momento, mina o futuro, comportando-se como a estiagem que tudo seca, enquanto o «Zé dorme o sono dos entorpecidos pelo calor, e as pobres plantas (político-partidárias) murcham, sem conseguirem que a atmosfera política lhes traga o aguaceiro da crise!» (J.R. in Charivari, 18/4/1896)
Muitas foram as crises, e não poucas as ditas, mas na nossa História recente, a que esteve mais dura de roer foi a de 28, uma espiga de maio vinte e seis, com um pronuncio de cárie nos dentes de leite sidonistas, a dezoito. «Mussolini -Então é esta a traquinas da sua filha (a República)?»
«O Zé - Sim, Sr. Duce, mas nasceu enfezadinha:..»
«Mussolini -Porque não lhe dá o meu xarope fortificante?»
«O Zé - Deus me livre. Já tomou uma xaropada dessas em 1918 ia morrendo!» (Stuart Carvalhais, in Sempre Fixe. 25/11/1926).
Não lhe serviu de lição, e em 26 é servida uma nova xaropada, desejada por muitos, mas logo temida por quase todos - «Ó Maria, afianças a melancia (ditadura)?»
«- Sei lá, não estou dentro dela...»
«- Então, o melhor é calá-la, que de resto, o calado é o melhor…» (Stuart Carvalhais, in Sempre Fixe 2/9/1926)
O Calado não teve oportunidade, porque teve mesmo que se calar, como a maioria, por impotência, por censura - «Na impossibilidade de desenharmos e escrevermos no Diário do Governo, teremos de transformar o Sempre Fixe em Jornal de Modas» (Francisco Valença, in Sempre Fixe, 8/7/1926) - por prepotência e outras potências várias, que logo em 27 «põe a Declaração dos Direitos do Homem no Penhor»(Francisco Valença, in Sempre Fixe; 5/5/1927).
No Carnaval de 33 festejam-se as cinzas dos que nunca estão de acordo por inteiro, os partidos - «Aqui repousam as cinzas dos Partidos Políticos»(Francisco Valença, in Sempre Fixe, 2/3/1933) - e lentamente, morrem as individualidades, cria-se um estado novo das coisas, em monocromia de marionetas.
O estado dos dentes também se vai deteriorando, como os governos; e se os primeiros caem por velhice ou doença os segundos quanto mais velhos e enfermos mais se agarram às pequenas materialidades, numa conservação de saudades de potências.

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